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Il était attendu ce marché couvert. Il verra le jour en 1882. Aussi inspira-t-il à un poète amateur de Malakoff, Joseph Lavergne, en 1884, une chanson dont nous reproduisons ici le texte paru dans le journal « le bon citoyen de Malakoff ». (sur l’air connu à la fin du 19ème siècle « En avant gaulois et Français »).
Refrain
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Nous avons un marché
Dans la nouvelle commune
Où chacun et chacune
Ont la vie à bon marché
On en construisit jadis
Un qui pouvait faire honte
Mais on l’a refait en fonte
Comme les halles de Paris
Si Chauvelot revenait
Lui qui fonda ce village
En contemplant cet ouvrage
Comm’d’orgueil son coeur battrait
Malakoff après trente ans
Quoique saccagé naguère
Par une néfaste guerre
Compte hui mille habitants
Malgré que dans le pays
Le gaz assez bien éclaire
Il manque encor la lumière
Hélas ! de tous les partis !
Ne faisons pas bon marché
Et mettons tous notre gloire,
Mes chers amis, à bien boire
Au fondateur du marché |