SOMMAIRE :
Un territoire

Le bâti


Les activités


Le sacré


GUIDE TELECHARGEABLE
Balades à Malakoff : une ville et sa mémoire

Rien de mieux pour découvrir la ville que de se laissez guider pour saisir pleinement toutes les caractéristiques de notre ville de banlieue qui a gardé en de nombreux endroits un petit air de campagne. Car Malakoff offre encore les qualités d’un village, préservé des grands axes, car la ville est insérée entre la ligne de chemin de fer et la nationale 906 (avenue Pierre Brossolette). Pour s’en rendre compte prenez le temps de déambuler dans Malakoff, surtout le dimanche après-midi, avec le guide téléchargeable réalisé par la mairie de Malakoff.

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Rien de mieux pour découvrir la ville que de se laissez guider pour saisir pleinement toutes les caractéristiques de notre ville de banlieue qui a gardé en de nombreux endroits un petit air de campagne. Car Malakoff offre encore les qualités d’un village, préservé des grands axes, car la ville est insérée entre la ligne de chemin de fer et la nationale 906 (avenue Pierre Brossolette). Pour s’en rendre compte prenez le temps de déambuler dans Malakoff, surtout le dimanche après-midi, avec le guide téléchargeable réalisé par la mairie de Malakoff.

Réalisé il y a quelques années par le service communication de la Mairie, l’édition papier de ce petit guide de poche est malheureusement épuisé. Mais il est heureusement téléchargeable et consultable sur le site internet de la ville. https://www.malakoff.fr/87/bouger/balades-a-malakoff.htm

3 plans indiquent rue par rue, grâce à des pictos numérotés, l’élément patrimonial a voir, complété par une photo et un bref commentaire.

Un outil idéal pour mieux découvrir les particularités et la diversité de la ville.

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BALADE A VELO
Circuit des œuvres murales dans Malakoff

Une dizaine de fresques murales parsèment la ville de Malakoff. Huit sont visibles de la voie publique. Leurs significations leurs formes et leurs couleurs suscitent l’étonnement ou le questionnement lorsqu’on prend le temps de les admirer. Ces oeuvres d’inspirations diverses et de techniques qui épousent leur temps sont dues à des artistes confirmés et de renommées internationales. Une belle découverte à vélo des muralistes, mosaïstes, peintres et sculpteurs qui animent l’espace urbain de Malakoff.

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Une dizaine de fresques murales parsèment la ville de Malakoff. Huit sont visibles de la voie publique. Leurs significations leurs formes et leurs couleurs suscitent l’étonnement ou le questionnement lorsqu’on prend le temps de les admirer. Ces oeuvres d’inspirations diverses et de techniques qui épousent leur temps sont dues à des artistes confirmés et de renommées internationales. Une belle découverte à vélo des muralistes, mosaïstes, peintres et sculpteurs qui animent l’espace urbain de Malakoff.

Pour préparer votre circuit consultez les fiches de présentation des fresques sur le portail patrimoine/le bâti de ce site malakoff-patrimoine.fr

Départ entrée de ville, angle du boulevard Adolphe Pinard (le long du périphérique) et de l’avenue Pierre Larousse.
 
Décoration du mur pignon de l’immeuble de l’INSEE/INSAE formant des sculptures en marbre blanc en relief sur 156 m2. Fresque intitulée « La fontaine pétrifiée » (1986). Création du sculpteur Antoine Hornn (atelier à Malakoff). Les trois statues dans les bassins sont antérieures à la fresque murale (1976).
 
Continuer sur le boulevard Adolphe Pinard. A 200m au feu tricolore tourner à droite sur la place de la République. A 50m dans la cour de l’école primaire Fernand Léger, sur le mur pignon du gymnase Jacques Duclos, œuvre de Camilo Henriquez, dit le Condor.
 
Fresque du « Peuple résistant » (1976). Particularité, la fresque démarre à partir du niveau des regards des enfants de six ans pour avoir le maximum d’effet esthétique.
Œuvre militante d’un peintre chilien exilé lors de la dictature du général Pinochet. Il exprime le temps qui a noyé les pierres ancestrales sous la forêt et qui sont en cours de dégagement. La restauration par les ouvriers remet en place ce qui a été détruit par la nature, le colonialisme, les dictatures. L’artiste exprime à la fois les déchirures et l’espoir du rétablissement de la démocratie en Amérique du Sud.
 
A l’autre bout de la cour, observer la mosaïque réalisée par Mélano Hoegger d’après un carton du célèbre peintre Fernand Léger offert à la ville de Malakoff par Nadia Léger « Les oiseaux sur fond rouge » (1976).
 
Le thème des oiseaux est tardif dans l’œuvre de l’artiste. Fernand Léger a peint les oiseaux sur trois fonds de différentes couleurs : le bleu, le jaune, le rouge. Le tableau original sur fond rouge se trouve au musée des Arts décoratifs à Paris.
 
Reprendre son vélo et s’engager dans la rue Emile Zola en face. Au feu tourner à gauche dans l’avenue Pierre Larousse. Prendre la troisième voie à droite, avenue Jean Jaurès, puis la première à gauche, rue Salvador Allende. Traverser la rue Béranger et continuer jusqu’à la rue à droite Louis Blanc.
 
A 100 mètres observer le mur sérigraphié de l’école maternelle Jean Jaurès « Portraits d’enfants" (2003).
Œuvre des artistes photographes de Malakoff Christian Gobeli et François Despatin et de l’architecte Jean Montcharmont qui ont utilisés des techniques récentes de sérigraphie sur verre. Les images que l’on découvre ne se perçoivent pas dans leur totalité, mais détails après détails en fonction des éclairages, des périodes de l’année, des angles de vision…La fresque reproduit une campagne de prise de portraits des jeunes élèves et les reproductions de leurs travaux d’écoliers. Un montage numérique a permis la reproduction sérigraphique.
 
Poursuivre l’itinéraire vers la place du 14 juillet. Prendre la première voie à droite, l’avenue du Président Wilson. Tourner à gauche le long de l’Hôtel de Ville et de la médiathèque. Puis, rouler jusqu’au bout de la rue Eugène Varlin. En face après avoir traversé le boulevard du Général de Gaulle prendre la coulée verte, à gauche derrière la station de métro, le long de la voie ferrée. Rouler 500 mètres, passer sous le pont et tourner immédiatement à gauche.
Emprunter toujours la coulée verte sur le côté arboré de la rue Raymond David, le long du mur de soutènement du TGV Atlantique.
 
Au deuxième pont, angle de la rue Guy Moquet/station de métro, prenez du recul pour découvrir l’imposante fresque « Les bâtisseurs » (1987), une réalisation complexe de la célèbre peintre-sculpteur international Yvette-Vincent Alleaume.
Cette oeuvre monumentale exprime le rêve du bâtisseur par une tête qui pense et des personnages qui s’activent pour construire la ville. La sculpture de 80 mètres en relief inversé habille le mur de béton du pont avec ses deux culées et ses retours. Les motifs sont en terre cuite émaillée, collés, aux tons vifs, évoquant à la fois l’eau et le feu. Le bleu et le rouge, les couleurs de la ville de Malakoff, traversent les personnages et l’ensemble de la sculpture dont elles habillent les creux.
 
Continuer sur la coulée verte, boulevard Camélinat jusqu’au troisième pont, angle de la rue Nicodèmes Pascual.
Découvrez la frise d’Olivier Descamps, de 70 mètres de long, consacrée au « Lancer du poids et du disque » (1987)et composée de 10 sculptures en aluminium anodisé. Les silhouettes reproduisent toutes les étapes du lancer du poids et du disque. Elles sont inscrites dans des niches en béton en épousant leurs formes. Le métal travaillé en bandes parallèles permet de voir les motifs différemment selon le déplacement du passant.
 
Suivre encore la coulée verte jusqu’à la station de départ de la ligne 13 du métro. L’œuvre monumentale appliquée sur le mur de soutènement du TGV représente une « Promenade dans un musée imaginaire » (1988).
 
Elle est l’œuvre de Béatrice Casadesus, peintre sculpteur, grand Prix de Rome en 1964 (atelier à Malakoff). Ce grand relief de forme géométriques sert de support à des « citations d’œuvres picturales recomposées », des images formées par des trames de petits carrés de céramiques représentant cinq tableaux d’œuvres majeures de la peinture.
 
Revenir par la coulée verte au premier pont. Emprunter à gauche la rue Paul Bert. Au bout tourner à droite dans la rue Paul Vaillant Couturier. Puis tourner à gauche dans la rue Avaulée jusqu’au Rond-Point Henri Barbusse. Prendre la deuxième voie à droite, s’engager dans la rue Jules Guesde et s’arrêter 50 mètres plus loin à l’angle de l’avenue de l’espérance.
 
Sur le mur sud de la Maison de Jeune du Quartier (MJQ) fresque militante « La force et la confiance » (1970, restaurée en 2007) inspirée par un poème de Pablo Neruda, réalisée par Camilo Henriquez, dit le Condor.
 
Cette composition montre des visages d’hommes du monde tournés vers le progrès et la science, vainqueurs de l’oppression. Autour de la citation du poète chilien « Unissons la force et la confiance » une série de 14 cartouches de l’humanité en mouvement expriment la fraternité, la force de la solidarité, la confiance dans le progrès, le rôle de la connaissance, la conquête de l’espace, la maîtrise de la nature… La dernière cartouche vide marque ce qui reste à faire pour l’avancée de l’humanité. La vision politique du monde par artiste engagé.
 
Fin du circuit.
 
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PROMENADE TETE EN L’AIR
Parcours architectural de l’Art nouveau aux années trente

Ne croyez pas qu’il n’y a rien à voir à Malakoff. Voici un itinéraire inédit pour découvrir différents styles architecturaux : des bâtiments publics des années trente aux décorations de formes géométriques, usage de la brique et pierre alternées, décorations Art-Déco et Art-Déco simplifié. maisons de ville aux consoles florales et ferronneries de balcon Art-Déco, immeubles de rapport pour gens modestes de style « Beaux-Arts » ou de style « Transition », pavillons Art-Déco et Art-Nouveau aux décors soignés de mosaïques et de céramiques, immeubles décorés de ferronneries Art-Nouveau ou Néo rococo et fronton monumental. A vous de voir !

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Ne croyez pas qu’il n’y a rien à voir à Malakoff. Voici un itinéraire inédit pour découvrir différents styles architecturaux : des bâtiments publics des années trente aux décorations de formes géométriques, usage de la brique et pierre alternées, décorations Art-Déco et Art-Déco simplifié. maisons de ville aux consoles florales et ferronneries de balcon Art-Déco, immeubles de rapport pour gens modestes de style « Beaux-Arts » ou de style « Transition », pavillons Art-Déco et Art-Nouveau aux décors soignés de mosaïques et de céramiques, immeubles décorés de ferronneries Art-Nouveau ou Néo rococo et fronton monumental. A vous de voir !

Rendez-vous : Place du 11 novembre 1918, devant l’hôtel de ville
 
traverser la rue Béranger
Entrée de l’école Jean Jaurès :
Premier d’un ensemble de bâtiments voulus par la nouvelle municipalité communiste et socialiste élue en 1925, pour moderniser la ville et la doter des équipements publics de qualité, indispensables dans une ville en plein développement. L’école est inaugurée en 1931. Architecte Armand Guérard, architecte municipal. Formes géométriques simples, usage de brique et pierre alternée et langage décoratif typiques du style Art- Déco. Le fronton porte inscription avec police de caractères « moderne » et blason de la ville également modernisé + guirlande de fruits, motif caractéristique de l’Art-Déco. Sur les cotés, en bordure de toit, frises de fausses métopes et triglyphes, motif de l’architecture classique (origine Grèce antique) mais modernisé.
 
→ avenue du président Wilson. A droite, un autre bâtiment officiel des années Trente : ancienne Bibliothèque et Justice de paix (puis Trésorerie). Architecte : Armand Guérard. Sans doute plus tardif, le bâtiment est plus sobre dans son décor comme dans sa forme : style années Trente (Art-Déco simplifié). Remarquer la porte de fer forgé, les piliers séparant les fenêtres, traités en colonnes antiques, et, en partie supérieure, le joli motif décoratif formé par les briques et le beau blason de mosaïque.
 
A coté, à l’angle de la place du 14 juillet, l’ancienne poste. Architecte : Armand Guérard. Style Art-Déco volontairement plus chargé : fronton à multiples décrochements, blason et symbole R.F (République Française) en relief, guirlandes, faux pilastres.
 
→ place du 14 juillet. Crée à la même époque, dans le cadre de la même opération d’urbanisme. Le monument aux morts est de 1955. Sculpteurs : Joachim frères. A gauche (Société Forclum), au n°8-10, belle maison de ville avec remarquables consoles florales et ferronneries de balcon Art-Déco.
 
 
En face, le grand immeuble est le deuxième HBM construit à Malakoff. On y a d’abord logé des « Zoniers », après la destruction des Fortifications de Paris, puis des petits fonctionnaires de l’Etat. Logement social de qualité, presque de « standing ». Très remarquable réalisation années Trente, monumentale : bow-windows sur plusieurs étages, derniers étages en retrait avec terrasses, haut fronton central, grilles et portes très géométriques. La porte cochère reprend une vieille tradition mais elle est moderne car conçue pour des voitures. La cour est encore plus spectaculaire avec une vraie recherche de rythme dans les motifs de brique et les aérations.
 
→ avenue Gabriel Péri à droite. Le n°52, très simple, est un immeuble de rapport pour gens modestes, type de construction que l’on retrouve pendant tout le XIXe siècle et au début du XXe. Difficile à dater. A coté, au n°54, immeuble daté de 1904, de style « Beaux-Arts », du nom de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Les architectes issus de ses bancs ont popularisé en Europe et jusqu’aux USA, un style éclectique volontiers pompeux et monumental, hérité du XIXe siècle. Il est contemporain de l’Art-Nouveau et plus prisé par la bourgeoisie.
 
→ avenue Jules Ferry à droite. Le stade Lénine date de 1938. Il a été refait mais ses vestiaires-douches ont conservé leurs céramiques blanches d’époque. En face, l’école primaire ? a été construite dans les années Trente. Son entrée monumentale avec auvent de béton armé et ses deux tours d’escaliers (refaites) sont typiques de l’époque. Recherche de fonctionnalité. Remarquer le très sobre portail métallique, avec le nom de l’école en police de caractères très simples, les grilles en béton bouchardé et les reliefs animaliers des sculpteurs .
 
Faire ½ tour → avenue Gabriel Péri. Au débouché en face, angle de la rue Paul Bert, bel immeuble de style « transition » : il n’est plus Art-Nouveau, a les formes de l’Art Déco mais pas encore sa décoration (années 1910). Travail soigné avec bow-windows et colombages en partie supérieure.
 
 → traverser l’avenue → rue Paul Bert → rue Jean-Jacques Rousseau à gauche. Au n°5, balcons Art-Déco à motifs de corbeilles de fruits. → continuer la rue à droite → avenue Maurice Thorez à gauche → square M. Thorez à gauche → impasse Ressort à droite. Remarquer à gauche un pavillon Art-Déco avec jolies grilles de balcons avec rare motif de soleil levant.
 
→ rue Guy Môquet à gauche. Du coté droit, immeuble « Transition » avec belles portes. → rue Augustin Dumont à gauche. Au débouché sur la rue, remarquer l’immeuble en face, très sobre, décoré de ferronneries Art-Nouveau. Nombreux sont les immeubles alors qui, sans être de style Art-Nouveau, en adoptent tel ou tel élément décoratif, souvent les ferronneries, fabriquées industriellement et vendues par catalogue.
→ rue Caron à droite. Au n°5, jolie maison Art-Déco de l’architecte Perière qui a construit plusieurs maisons à Malakoff.
Plus loin à droite, bel immeuble Beaux-Arts de l’architecte Balnéfrésolle-fils. C’est le seul immeuble en pierre de taille de Malakoff. Remarquer sa riche décoration : bossages vermiculés, écussons, rosaces, consoles, motifs en relief…
 
→ avenue Gabriel Péri à droite. En face, autre immeuble Beaux-Arts avec ferronneries néo-rococo et fronton monumental. Au n°114, atelier avec carreaux de céramique à inscriptions publicitaires. Au n°122, belle porte Art-Déco à motif de feuilles de laurier.
 
→ traverser la place du 8 mai 1945 → continuer sur l’avenue Gabriel Péri. A l’angle de la rue Alfred de Musset, à droite, immeuble Art-Déco avec tout le répertoire : frise, guirlandes, ferronneries, porte de fer.
Au n°149, immeuble-atelier d’un très sobre style Art-Déco.
A l’angle de l’avenue du maréchal Leclerc, magnifique immeuble Art-Déco
 
→ traverser → avenue du maréchal Leclerc. De suite à droite, on remarque l’impasse du Petit-Vanves, la plus vieille voie de Malakoff, dont le nom rappelle l’ancien nom de notre commune. Les ateliers de bois et tôle remontent au XIXe siècle mais existaient sans doute avant.
 
Plus loin, l’Usine Clacquesin → rue Perrot à gauche. La Fonderie d’art Godard vient de fermer ses portes. L’atelier à verrière et fermes métalliques du XIXe siècle existe toujours. Au n°21, remarquer le décrottoir. Au n°31, belle maison Art-Nouveau, la seule de Malakoff ( ?)
 
→ rue du docteur Ménard à gauche → rue Gambetta à droite. C’est ici qu’en 1917 est tombé un obus de la Grosse Bertha.
 
→ rue Chauvelot à gauche. Elle porte le nom du promoteur à l’origine de Malakoff. Au n°31, ferronnerie Art-Déco ; au n°35, encore un décrottoir ;
Au n°39, en fond de jardin, belle maison de style balnéaire. Elle fut édifiée à la fin du XIXe siècle pour un riche marchand des Halles de Paris qui, pour faire plaisir à sa femme trop malade pour revenir dans sa Normandie natale, lui a fait construire cette maison, réduction au 1/7e d’un manoir normand.
Au n°55bis, immeuble Art-Déco de l’architecte Brugniot, avec bel imposte à motif de fougères.
 
→ avenue Pierre Larousse à droite. En face, le centre municipal de Santé Maurice Ténine. C’est un des rares bâtiments inaugurés en France pendant l’Occupation. Conçu dans les années Trente, terminé en 1943, il avait été pensé comme dispensaire, usage qui sera le sien dès la Libération, en 1944.
Agrandi et restauré à plusieurs reprises – la dernière tout récemment – c’est le bâtiment officiel de cette époque le plus réussi à Malakoff : fonctionnalité et rationalité, lumière et hygiène, vont de pair avec une vraie recherche esthétique dans les volumes architecturaux et dans le décor, très soigné avec ses mosaïques de fragments de céramique utilisés tant en carrelage qu’en revêtement mural.
Dans la même rue, au n°67, bel immeuble Art-Déco. Aux n°56 et 54, deux autres immeubles remarquables, le premier Art-Déco, le second Art-Nouveau.
 
→ avenue Jean Jaurès à gauche. Du coté gauche, au n°5, un des plus beaux immeubles de la ville, avec décoration de carreaux de céramique à motif de libellules et ferronneries Art-Nouveau. Aux n°10 et suivants se trouvait le grand cinéma des années Trente, détruit dans les années 1970.
 
→ place du 11 novembre 1918.
 
 
 
Fin de la promenade

 

 

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UN LIVRE
Malakoff, cent ans d’histoire

Un seul livre a été édité sur l’histoire de Malakoff, l’une des plus jeunes communes de l’Ile-de-France, séparée de la ville de Vanves en 1883. C’est justement pour marquer le centenaire de « la séparation et de l’autonomie » que le Centre culturel municipal a édité cet ouvrage qui aborde une très intéressante histoire contemporaine d’une ville de la banlieue parisienne. Une vision très militante toutefois, passionnante, qui ne doit rien au hasard. A vous de voir !

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Un seul livre a été édité sur l’histoire de Malakoff, l’une des plus jeunes communes de l’Ile-de-France, séparée de la ville de Vanves en 1883. C’est justement pour marquer le centenaire de « la séparation et de l’autonomie » que le Centre culturel municipal a édité cet ouvrage qui aborde une très intéressante histoire contemporaine d’une ville de la banlieue parisienne. Une vision très militante toutefois, passionnante, qui ne doit rien au hasard. A vous de voir !

Au sommaire de ce livre difficile à trouver aujourd’hui, mais disponible à la bibliothèque municipale : 

- Des origines à 1850
- Une tour donne naissance à une ville
- Malakoff se sépare de Vanves
- Premiers pas difficiles d’une ville dépourvue
- Malakoff : années 1900
- Le tournant de 1925
- Années trente : années de crise, de luttes et d’espoirs
- La guerre, la Résistance, la Libération. 1939-1945
- 1945-1960 : la ville change de visage
- Une ville centenaire, jeune et dynamique
- Annexes : voies et accès curieux
- Le blason de Malakoff
 
Livre paru aux Editions Temps actuels, préparé sous la direction de monsieur Léo Figuères (maire) et de madame Josette Pappo ; Septembre 1983
 
 

 

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